Lisboa nunca termina.
Es imposible fondearla entera en una sólo visita. Como imposible resulta olvidarse de sus calles y sus gentes. Lisboa le debe mucho a sus miradores, a sus tranvías, a sus célebres, irresistibles e inspiradores pasteis de Belém, ofrecidos al mundo por un panadero en paro que vendió la receta de las monjas del convento dos Jerónimos, en el barrio de Belém, hoy sede central del arte manuelino por excelencia.
Lisboa es O Tejo, es Pessoa, es el alma que mira hacia el mar y se resquebraja, se rompe y se pega a la tierra.
Lisboa nunca acaba.
Es imposible abordarla en una sola entrada.
Lisbonne ne finit jamais. Il est impossible de la sonder entièrement en une seule fois. Comme il est impossible de d'oublier ses rues et ses gens. Lisbonne doit beaucoup à ses belvédères, à ses tramways, à ses célèbres, irrésistibles et inspirateurs pasteis de Belém, offerts au monde par un boulanger au chômage, qui a vendu la recette des religieuses du couvent des Jerónimos, dans le quartier de Belém, aujourd'hui lieu central de l'art manuelino par excellence.
Lisbonne c’est Le Tage, c'est Pessoa, c'est l'âme qui regarde vers la mer , qui se rompt et s’attache à la terre.
Lisbonne ne finit jamais.
Il est imposible de l’aborder en une seule entrée.
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